" Essuie encore tes yeux que je te frappe mieux, là où la chair est tendre, douce, marbrée et satinée, là où elle se tend, ou elle craque. Laisse couler le noir de tes yeux, laisse couler ton nez. Retiens tes cris, mêle tes larmes à ma joie, viens que je coule en toi, que je me répande, que je te caresse, que je lèche tes plaies, viens que tu me pardonnes. (....)"
La Dérobade, de Jeanne Cordelier